Regen X considère que le moyen le plus rapide et efficace de mettre fin à, et même d’inverser la crise planétaire, est la conservation et la re-création de la faune et de la flore sauvages, grâce à des savoirs écologiques locaux avancés.
« Le but du projet est de développer une résistence éco-systémique grâce à des économies communautaires durables et régénératrices, sur des terres menacées de bétonisation ».
En réponse à ces enjeux, Regen X propose un cadre centré sur l’éco-architecture, les coopératives au service de la communauté, et la régénération des écosystèmes, comme alternative de développement immobilier viable sur les terrains privés à écosystèmes fragiles à travers le monde.
Leur modèle proposé priorise de préserver la faune et la flore sauvages à 40-60% sur les terrains concernés, en s’associant avec les communautés autochtone et des écologistes spécialistes. Le reste du terrain serait utilisé pour créer des habitations humaines combinant l’architecture vernaculaire, des infrastructures inspirées de la nature, et des technologies permettant l’autosuffisance.
Ces systèmes vivants seraient la propriété collective des communautés locales qui ont vécu dans la région depuis des générations, et par les personnes qui pourraient les rejoindre sous condition d’avoir le consentement total et informé de ces communautés. Ce modèle permet non seulement de protéger l’écologie, mais aussi de rebâtir un sens de la confiance et de la propriété pour les gardien·ne·s traditionnel·le·s de ces terres.